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test
apaliyenko
- 9/6/2012
Dans une note de bas de page (382), Thierry Poyet donne cette citation de Flaubert : « Pour moi, l’amour n’est pas et ne doit pas être au premier plan de la vie. Il doit rester dans l’arrière-boutique » (30 avril 1847). Après avoir lu les lettres de Flaubert (et celles de Colet), que pensez-vous de cette déclaration par rapport à ses lettres? Dans vos réponses, considérez l’argument de Janet Beizer.
annie et sophia
- 3/7/2012
Je pense que ni l'un ni l'autre lecture apporte un meilleur réflexion du rapport entre Chopin et Sand, c'est plutôt que les deux nous montrent des choses différents. Les lettres ont l'avantage d'être des sources primaires, on peut lire des mots écrits par des gens qu'on veut étudier. On sait que les deux s'aiment parce que George Sand a dit: "On vous adore" (17). Les lettres sont le preuve du passé. Le texte de Brunel est utile comme un résumé et un contextualization. Il y a beaucoup des autres personnages dans le recit de Chopin et Sand et Brunel nous aide de comprendre avec les explications. Il exprime aussi le connexion entre Sand et Chopin: "L'allure de George Sand avait surpris Chopin" (10). On suppose qu'il peut dire ça grâce au récherche qu'il a fait; on le croit parce qu'il a dû lire beaucoup pour écrire son livre. Le texte de Brunel est utile pour créer un synthèse des lettres, un explication de l'amour entre les deux.
Molly Rogers
- 2/20/2012
En lisant les réponses au forum, il semble que la plupart de la classe est d’accord que les lettres de Frederic Chopin et de George Sand reflètent mieux le contexte social de leur rapport. Comme Sophie a souligné, les lettres soulèvent une intimité unique qui ne peut pas exister dans le récit de Brunel. Pourtant, je pense que Margaret a fait aussi un point très important entre les deux sources : le fait que le récit de Brunel met l’accent sur « la liberté mutuelle » des deux personnages parce qu’elle est un aspect essentiel à leur rapport. Comme Julie a mentionné, Brunel a un style écrit qui est unique et donc il ajoute un aspect « intéressant » d’une troisième perspective au rapport des deux personnages. Son récit n’est complètement subjectif ni objectif. On s’attend à ce que les lettres sont notamment subjectives et donc, qu’ils offrent un contexte social plus intime. Je pense que ce fait est particulièrement pertinent à cause de l’époque de Chopin et Sand qui met d’avantage l’accent sur l’importance d’individu. Malgré que les lettres sont indirectes et, de temps en temps, « le fils de leur amour est difficile a suivre », comme Julie a dit, ils révélés leurs personnages individuels plus que dans le récit. Grace à « L’Age des Lumières », l’époque de Chopin et de Sand est bien connue pour célébrer la puissance, les libertés et les capacités d’individu. Ce sens d’individualisme est tellement essentiel à leur rapport qu’il est plus important de soulever dans le grand contexte social, qui est mieux accomplie dans les lettres que dans le récit de Brunel.
Sarah Braselton
- 2/20/2012
Dans son article La Passion Des Contraires, Brunel éclaire les premiers sentiments entre Frédéric Chopin et George Sand. Dans le premier paragraphe de l’avant-propos, Brunel dit, « Il se sont rencontrés. Ils se sont aimés dès le premier échange de regard ou bien plus tard. » A mon avis, pour Chopin et Sand, ils se sont aimés plus tard. Ce que Brunel montre dans cet article est que leur amour n’a pas commencé avec l’instant passion, mais avec l’intrigue. Quand Chopin a écrit à ses parents après avoir faire la connaissance de George Sand, il n’a pas proclamé son amour pour elle, mais il a dit, « Son visage ne m’est pas sympathique et ne m’a pas plus du tout. Il y a même en elle quelque chose qui m’éloigne. » Sand s’est distingué par rapport aux autres femmes parce qu’elle a rompu des normes sociales pour les femmes aux dix-neuvième siècle. Elle est célèbre parce qu’elle a pris ce mâle nom de plume et parce qu’elle a habillé comme un homme et s’est portée comme un homme aussi. Elle avait l’air de ne pas s’associer avec un sexe. C’était l’ambiguïté sexuelle de Sand qui a captivé Chopin. Chopin a dit, « Est-ce seulement une femme ? » Comme Brunel approfondit, Chopin voulait savoir, « était-elle, allait-elle être pour lui seulement une femme ? » Le récit de Brunel peut montrer les plis de leur amour, en particulier, le début de leur amour dans une manière différente que les lettres de Chopin et Sand, en plus il commence de révéler le mystère de leur l’histoire d’amour qui a attiré beaucoup d’attention pendant des siècles.
Annie Kramer
- 2/20/2012
C'était très intéressant de lire tous les réponses à la question que nous avons posé, parce qu'il y a quelques personnes qui pensent que les lettres sont le plus utiles pour mieux comprendre la contextualisation sociale, et des autres qui pensent que le texte de Brunel sert bien. Les personnes qui pensent que le texte de Brunel a aidé le plus ont dit que les histoires des deux personnages, Chopin et Sand, a aidé beaucoup pour mieux contextualisé leur rapport. Je suis d'accord, je pense qu'en ajoutant les origines des deux personnages, Brunel a déjà contextualisé le plupart de leurs vies pour nous. Aussi, beaucoup des personnes ont dit que Brunel a focalisé sur les deux et leur relation, il a développé la rencontre en la cadrant dans une « vignette » historique. En revanche, les personnes qui ont dit que les lettres nous aident à mieux contextualisé cette relation ont de mérite aussi. Les lettres nous donnent une idée des pensées intimes des deux personnes, sur-tout parce que la plupart des lettres sont écrites à un autre personne, pas l'amant(e), et donc nous gagnons une vraie idée de ce que l'un pensait de l'autre. C'est certain que les deux textes vont nous aider beaucoup en classe à mieux comprendre cette relation.
Sarah Fensore
- 2/19/2012
Après avoir lu les deux textes, je pense que celui des lettres de George Sand et de Frédéric Chopin exprime mieux le contexte social de leur rapport. Il est vrai qu’en lisant le récit de Brunel, on acquiert une compréhension mieux que suffisante de ce contexte sociale ; Brunel contextualise la première rencontre de Sand et Chopin, l’automne 1836 à Paris. écrit les personnalités clés en donnant leurs âges, leurs réalisations passés et même leurs apparences, comme il fait avec Adam Mickiewicz : « Sa barbe déjà grisonnante lui donnait l’air d’avoir cinquante [ans] ». De plus, Brunel mentionne les aspects significatifs des vies de Sand et de Chopin qui pourraient expliquer leurs actions et leurs perceptions d’un de l’autre : Chopin a été élevé dans « un milieu essentiellement féminin, » alors que Sand avait un mari que était « chasseur de femmes, » la motivant de prendre le nom d’homme, devenir indépendant et montrer comment le « petit sexe » est écrasé par le « grand sexe ». Tout cela donne un bon contexte pour les sentiments qu’ils sentiraient, mais les lettres entres eux et aux autres amis donne ce contexte, ainsi que les vraies pensées du couple. On n’apprend pas seulement les relations, on voit aussi comment ces relations sont senties avec les mots choisis, comme le « petit » Chopin. On peut sentir vraiment comment les amants étaient vus par leurs amis, et le profondeur des émotions de toutes les parties concernées (même la méchante Marie d’Agoult).
Cara Gaynor
- 2/19/2012
Comme Lucy, Dominique, et Natalie ont déjà souligné, l’extrait du livre de Brunel situe Chopin et George Sand dans leur temps tant que la Correspondance. Il donne le contexte de leur rapport mais les lettres approfondissent leur rencontre et nous offrir les pensées privées des deux personnages. Alors, j’ai trouvé la correspondance beaucoup plus utile pour notre cours et pour moi d’essayer de comprendre Sand et Chopin. Même que les lettres ne sont pas écrites de l’un à l’autre, on peut bien voir leurs manières de se questionner et les conseils de leurs amis. Avec Napoléon et Joséphine, on a parlé des lettres comme une fenêtre de l’âme et ceux de George Sand à Albert Grzymala de juin 1838 nous donne la meilleure indication de leur amour. Sand est très franche en écrivant à son ami « Voici une lettre comme je n’en écris pas deux en dix ans…Vous me savez par cœur maintenant… je parlais de moi, à un autre moi, le meilleur et le plus cher des deux, à coup sur » (35). Cette lettre détaillée témoigne de la duplicité de Sand. D’une part, cette citation montre l’honnêteté avec laquelle Sand l’a écrite parce qu’elle parle de soi à « un autre moi » mais il n’est pas évident si l’autre moi fait référence à sa franchise avec Albert ou à sa propre dualité. Le nom George Sand était un nom de plume et il me semble que Sand n’est pas sure de sa propre identité féminine ou masculine. Brunel a mentionné son « ambigüité sexuelle » (10) et en lisant ces lettres, il est évident qu’elle se doutait non seulement avec Chopin, mais d’elle-même. Cette intimité n’existe pas dans le chapitre de Brunel qui décrit la haute société de leurs jours mais ensemble, je pense que ces deux textes créent un bon portrait de Chopin et Sand.
Sophia Rothschild
- 2/19/2012
En lisant ces deux textes avec un regard critique pour la contextualisation sociale, je suis d’accord avec Lucy et Dominique que le récit de Brunel cadrer mieux ce couple célèbre. Je trouve que l’avant-propos et le premier chapitre de son livre « La passion des contraires » donne le lecteur une sensibilité plus global du rapport entre Chopin et Sand. Il nous décrit la dynamique générale de leur relation amoureuse en soulignant que cette passion des contraires « a nourri leur création artistique ». Surtout, l’avant-propos met en contexte l’importance du moment de rencontre. (La première phrase est « Ils se sont rencontrés. ») Les origines de leur rapport sont bien développées, ce qui nous donne une connaissance de la société dans laquelle ce couple s’est formé. Le premier chapitre crée un résumé bref de leur rencontre et offre une vignette des personnalités et des histoires de chacun. Comme Lucy a déjà dit, les lettres sont utiles, mais elles ne sont que des sources premières pour l’histoire de ce couple célèbre. Pour les besoins de notre cours, le texte de Brunel met l’aspect social en contexte beaucoup mieux. Il nous donne une analyse qui souligne l’importance de la liberté mutuelle, et également les différences qui existaient entre les deux personnages.
Margaret Hunziker
- 2/19/2012
Chopin s’exprimait dans sa musique et George Sand s’exprimait avec des mots et ces deux tendances sont fortement apparentes dans leur correspondance. Sand écrit beaucoup, mais rarement à Chopin et quand il écrit il n’ajoute pas beaucoup de détail. Tenant compte du fait qu’ils habitaient ensemble pendant plusieurs années ils n’avaient pas besoin des lettres l’un à l’autre et le plupart de leurs lettres étaient écrites à leurs amis. Par conséquent, les lettres donnent une contextualisation sociale de l’amour entre Sand et Chopin, mais le fil de leur amour est souvent difficile à suivre. Pour cette raison je suis d’accord avec Dominique et Lucy qui ont déjà donnés des bonnes justifications pour leur choix que le texte de Brunel clarifie mieux la vie sociale de Sand et Chopin. Brunel élabore sur la vie familiale de Chopin ce qui m’a beaucoup aidé à comprendre son état fragile, douloureux et amoureux surtout à l’égard George Sand. Le style de Brunel est aussi très clair, mais intéressant. Par exemple, il commence en disant « c’était un automne comme les autres que celui de l’année 1836 ». Le lecteur est déjà interessé ! Brunel décrit aussi les circonstances de leur rencontre et les amis qui les ont apportés à cette fameuse « soirée mondaine ». Brunel ne se focalise pas trop sur un amant ou l’autre, il donne les deux leurs propres histoires et puis leur histoire partagée. Grâce à l’auteur, le lecteur comprend l’importance de la vie sociale de Chopin et Sand, la « don-juane « , et comment ils pouvaient commencer à s’aimer quand ils n’étaient pas du tout sur qu’ils s’aimaient après leur rencontre quand Chopin a joué une note fausse devant Sand et de laquelle il a dit « mais son visage ne m’est pas sympathique et ne m’a plu du tout » (10).
Julie Solomon
- 2/19/2012
Je suis d’accord avec Lucy que le texte de Pierre Brunel offre la meilleure contextualisation sociale du rapport entre Frédéric Chopin et George Sand.
Un contexte intéressant que le texte de Brunel apporte, est les premières impressions de Chopin par rapport à George Sand. On apprend que Sand était une femme qui inspirait beaucoup de controverse. Je crois que l’on peut même suggéré qu’elle n’était pas « une femme comme il faut ». On voit qu’au début, Frédéric Chopin a aussi remarqué les qualités uniques de Sand. Chopin a réagi à cette femme différente en proclamant, « Quelle femme antipathique, cette Sand ! Est-ce vraiment une femme ? Je suis prêt à en douter » (Brunel 10). Cette citation est une bonne exemple de comment Brunel a bien montré les pensées de Chopin et Sand respectivement. Le lecteur est donc mieux capable à comprendre le rapport entre eux parce que l’on est connaissant de leurs propres situations.
Je trouve que les lettres sont utiles pour apprendre la voix écrite de Sand et de Chopin, pourtant, les lettres ne contiennent pas beaucoup d’information sur leur rapport.
Il y a certains indices de leur rapport, par exemple quand George écrit à Eugene Delacroix, elle décrit le talent de Chopin en disant « qu’il est vraiment sublime » (George Sand 1838) et quand elle dit que Chopin « est l’homme irrésistible » (Sand 1837). Mais en dehors de ces petites indications, on lutte à trouver plus de détails.
On peut glaner de ces lettres la preuve que George Sand était en fait une sorte de « don juane » (Brunel 15). Les mots dans les lettres de Sand sont tendres et passionnants, surtout dans la lettre à la comtesse Marlaiani. Le ton me fait souvenir aux lettres de Napoléon à Joséphine, quand Sand écrit , « Aujourd’hui je ne vous écris qu’un billet pour vous dire que je vous aime, que j’ai besoin que vous m’écriviez, que vous pensiez à moi, que vous vous occupiez de moi » (Sand 1838). Même si Sand donne ses sentiments tendres à la comtesse, c’est aussi au moment qu’elle commence son rapport avec Chopin. Il faut donc se demander si ce nouvel amour influence le ton de sa lettre.
Dominique Brunelle
- 2/19/2012
Les Lettres de Chopin et de George Sand m’offre la meilleure contextualisation sociale du rapport entre Frédéric Chopin et George Sand. Ils sont beaucoup plus intimes pour nous donner une idée de la relation et des pensées individuelles du couple. Dans un temps où les femmes n’avaient pas une voix respectée par la société, George Sand oppose dans ses lettres quelques croissances générales de l’époque à propos des femmes. Elle montre la capacité de raisonner et d’écrire des théories intellectuelles. Malgré que la société française n’était pas prête à accepter une contribution des femmes dans la sphère publique, George Sand montre la progression des femmes quand même. Comme les lettres de Napoléon et Joséphine, pour la plupart, les lettres de Sand semblent plus longues et plus franches que ceux de Chopin. Elle dit à la fin de son lettre à Albert Grzymala en 1838 « maintenant vous me connaissez à fond…Vous me savez par cœur maintenant et vous pouvez tirer à vue sur moi quand vous règlerez les comptes de la Trinité » (George Sand à Albert Grzymala, à Paris 1838). Cette lettre, écrit après la rencontre avec Chopin, nous montre sa lutte intérieure avec le sens de l’amour et des pressions sociales. « J’ai toujours condamné la femme quand elle voulait être heureuse au prix du bonheur de l’homme ; j’ai toujours absous l’homme quand on lui demandait plus qu’il n’est donné à la liberté et à la dignité humaine d’engager » (George Sand à Albert Grzymala, à Paris 1838). C’est un monologue honnête, plein des sentiments, mais aussi une analyse philosophe qui nous offre sa personnalité divisée : la féministe et l’amante.
Natalie Biedermann
- 2/19/2012
En examinant les deux textes qui peignent les vies de Chopin et Sand, il devient apparent que le récit de Brunel mieux explique la relation entre les deux célébrités. Brunel se concerne avec les pensées de Chopin et de Sand spécifiquement ; les pensées des autres ne sont pas si importantes à l’histoire de cette liaison. Brunel examine les passés en bref des deux amants, trouvant ce qui les a amenés à eux-mêmes. Puis, il montre clairement comment ils chassaient l’autre à l’approche, culminant dans une liaison historique. Les lettres entre les amis de Chopin et Sand sont indirectes et elles sont, de temps en temps, hors sujet important. J’apprécie comment l’éditeur à abréger les lettres au début du texte pour souligner la relation entre les deux amants, mais il me semble que l’éditeur devient moins sûr à propos ce qui est important dans les lettres et ce qui est superflu. Mais, si on cherche le contexte social ou le moment historique de Chopin et Sand, les lettres servent mieux. Dans cette forme épistolaire, on voit les liens sociaux qui entourent les amants. On peut découvrir les hiérarchies sociales et les modes dans les niveaux différents de la société. Si on cherche de la preuve que Chopin et Sand étaient représentatifs de leur moment, les lettres servent mieux. Le récit de Brunel est trop bref pour identifier des tendances sociales ou comment cette liaison est vue dans la société. On voit seulement une côté de l’histoire- la relation entre deux individus. En plus, le récit de Brunel est une interprétation des faits, ou, au moins, une représentation incomplète des documents primaires. Les lettres sont des documents primaires dont on peut trouver sa propre conclusion.
Lucy
- 2/19/2012
Étant donné la publicité autour des personalités de Frédéric Chopin et George Sand, quel texte, le récit de Brunel ou les lettres, vous offre la meilleure contextualisation sociale de leur rapport?
Sarah B. et Sarah F.
- 2/18/2012
Quelques personnes discutent le pouvoir des lettres de créer un portrait compréhensif de leur écrivain. Pourtant, je pense que les différences entre les lettres montrent comment la personnalité de l’écrivain change facilement à cause des mots sur la page; donc il est impossible de savoir la vérité complète de la personne. Sarah dit que les lettres nous donnent un portrait avec tous les espoirs, les sentiments et les craints de Napoléon et Joséphine, mais je pense que ces vérités révélées sont exagérées dans les lettres. Le ton et les sentiments de chaque lettre sont déterminés par leur contexte. Joséphine, par exemple, dit que ta volonté « est aussi de te plaire, de t’aimer, ou plutôt, de t’adorer » dans une lettre à Bonaparte de 1803 (Saint-cloud, 14 novembre 1803). Elle les dit à la réponse des mêmes sentiments de Bonaparte dans une lettre précédente. Il s’agit qu’elle est tout amoureuse de lui, mais ses actions et les soucis de Bonaparte dans ses lettres, ne le soutiennent pas. Pour son part, il écrit à Joséphine, « Quand tu m’écris, le peu de mots, le style n’est jamais d’un sentiment profond » (Milan, le 23 prairial). Il demande, « as-tu cessé de m’aimer ? » dans une autre lettre du temps similaire (Nice, le 10 germinal). Il y a une différence distinguée entre les lettres des deux amants. Joséphine dit plus qu’elle montre dans ses lettres, pendant que Bonaparte montre son amour plus qu’il dit dans ses lettres. A un temps, il a mit Joséphine au-dessus de la nature en écrivant « ta pensée était dans mon âme avant celle de la Nature entière » (Milan, le 23 prairial). Est-ce que c’est la vérité présente, éternelle, ou seulement la produite de tant d’émotion ? Apres leur divorce, le ton change dramatiquement de ses lettres, comme il est plus objectif et amical avec moins d’émotion. Pourtant, le fait qu’il continue à écrire à elle suggère que ses sentiments et ses intentions sont impossibles à définir. Pour son part, Joséphine ne change assez que Bonaparte dans ses lettres pendant et après le divorce. Elle continue à dire à lui, « tu es mon seul ami » mais elle ne montre pas ses affections (Secheron, 23 Sept 1810). Donc, peut être les lettre créent un portrait d’une personne, mais c’est un portrait très subjectif et incomplète.
Sarah Braselton
- 2/13/2012
Comme Molly dit, j’ai remarqué aussi le mot « portrait » dans le phrase « Une lettre est le portrait d’une âme » parce qu’un portrait est normalement une représentation simple et franche d’une personne ; rien est cachée. Les lettres de Napoléon et Joséphine sont comme ça, le plus que l’amour entre les deux s’embrouille, le plus les lettres évoluent. On peut voir une image figurative de chacun en voyant les mots qu’ils utilisent et les sentiments qui suivent. Le ton de Napoléon transforme beaucoup dans les lettres, au début c’est vraiment romantique quand il parle de son amour. « Mon cœur ne sentit jamais rien de médiocre…il s’était défendu de l’amour ; tu lui as inspiré une passion sans bornes, une ivresse qui le dégrade » (23 mai). Quand il la courtise ses mots évoque une tendresse, mais ce qui disparaît pendant le mariage. Ses lettres montre l’évolution de leur amour qui commence fortement et qui devient petit à petit douloureux pour les deux. « Voudrais-tu accroître ma peine ? » (14 mai). La transformation des lettres et de l’âme de Joséphine est plus discrète ; la longueur qu’elle écrit ne change pas, malgré la disparition du mariage. Je pense que l’image que Joséphine peinte avec ses lettres est plus ouverte et honnête, un vrai « portrait de son âme ». « Je suis si chagrine d’être séparée de lui (Napoléon) que j’ai une tristesse que je ne puis vaincre » (18 juin 1798). Même après le divorce sa sincérité existe encore : « si l’Empereur te demandait de mes nouvelles, dis-lui, ce qui est vrai, que ma seule occupation est de penser à lui ».
Natalie Biedermann
- 2/12/2012
Je pense que le plupart des discussions ici prennent des fils similaires et j’espère répondre à toutes avec cette reponse. On a déjà parlé de l’évolution des sentiments chez Napoléon et ses lettres sont ainsi organisées (il est d’abord l’amant, puis le mari, et finalement l’ami). Alors il s’agit de trouver si l’évolution des sentiments est aussi linéaire chez Joséphine. Les lettres de Joséphine et celles de Napoléon diffèrent évidemment parce qu’ils montrent des divers aspects de leurs personnages. Le lecteur comprend plus profondément l’ardeur Napoléon a eu pour Joséphine parce que le plupart de ses lettres se concernent d’elle et sont pour elle. Par contre, le lecteur comprend plus profondément la vie de Joséphine parce qu’on a la chance de lire ses lettres à ses enfants dans lesquelles elle parle souvent de son amour et son admiration pour Napoléon. Plusieurs personnes ont remarqué que Joséphine et Napoléon sont affectueux et je trouve la lettre à Barras particulièrement intéressante parce qu’elle partage ses sentiments pour son mari avec un autre homme et elle dit de Napoléon « que j’aime bien malgré ses petits défauts ». Bien sur, à ce moment, Napoléon n’est pas encore l’Empereur. Joséphine admire son mari aussi et dans le lettre à Hortense de 4 mai 1807 que « il a été très affecté de la perte de beaucoup de braves gens qu’il affectionnait » (285). Elle est amoureuse de lui et ce qu’il fait aussi. Joséphine et Napoléon ont divorcé en janvier 1810 et ce changement est fortement evident dans la lettre de Joséphine datée 19 avril 1810 (365). La lettre est à l’Empereur et Joséphine prend soin de ne pas être insolente. Elle le vouvoie et elle répète les salutations sire et votre majesté à plusieurs reprises. Il est clair que Joséphine n’est pas sure comment de se comporter avec Napoléon après leur divorce est qu’elle a aussi peur de l’offenser. Après cette lettre le ton des autres lettres sont moins formelles et il est évident que Joséphine aime Napoléon encore et qu’elle déguise sa triste solitude avec peu de succès, surout quand elle dit, comme Sophia a déjà noté, « Si l’Empereur te demandait de mes nouvelles, dis-lui, ce qui est vrai, que ma seule occupation est de penser à lui » (301). Les lettres de Joséphine à Napoléon sont tristement contraintes par leur divorce mais il y encore d'affection entre eux, mais moins bien sur.
Julie Solomon
- 2/12/2012
Comme plusieurs ont déjà montré, il y a une évolution claire des sentiments de Joséphine envers Napoléon Bonaparte. Je suis d’accord avec son métaphore qui dit que « une lettre est le portrait de l’âme » (p. 137), pourtant je me demande si l’évolution du ton des lettres correspondent avec une évolution de l’âme, ou si son âme a vraiment évolué. Il me semble que les lettres du début de leur mariage montrent très bien les sentiments d’amour qu’elle tien à Napoléon. Ses désirs et ses vœux sont tous centrés de plaire, aimer, et adorer l’Empereur (p. 137). Outre une manifestation de la passion, de l’amour, et du désir, les lettres de Joséphine nous peignent un portrait qui montre des autres facettes de sa vie et sa personnalité. Par exemple, il est bien évident que la famille est très importante à elle. Ses lettres, surtout celles avec Hortense, soulignent cette valeur de la famille. Un exemple que je trouvais indicatif de ce rapport familial se trouve dans la lettre numéro 388 dont Joséphine parle de l’envie d’Hortense de voir Napoléon, même après le divorce (p. 274). Certes, on voit une évolution du ton dans les lettres après le divorce, mais je pense que les sentiments et l’amour de Joséphine ne sont que caches – ils ne sont jamais complètement disparu et donc son âme n’a pas changé véritablement. Le changement du ton n’est pas pareil avec le changement de « l’âme » ou des vraies sentiments qu’elle peut-être gardés tout au fond de son cœur. Le changement du ton reflète le changement officiel de leur rapport et la fin de leur mariage. Marie-Louise a gagné les « droits » à l’amour de Napoléon (p. 275). Mais toujours, Joséphine était au service de l’Empereur. Elle lui a fait un « grand sacrifice » et elle veut toujours faire ce qui ferrait « plaisir à l’Empereur » (p. 281). Même à la fin de sa vie, dans la lettre du 25 février 1814, on peut voir sa loyauté et l’accent mis à la famille (p. 362). Le ton a changé à travers l’évolution de leur correspondance, mais je pense que l’âme ne change jamais.
Margaret Hunziker
- 2/12/2012
Comme Molly a dit dans sa poste, « un portrait, c’est une représentation visuelle d’une personne. » En lisant la phrase « une lettre est le portrait de l’âme, » on a la tendance de penser au sens romantique des sentiments d’âme : les secrets, les craintes, les désirs, les espoirs, les chagrins, les passions, et surtout l’amour. A cause de cette pensée—avant de commencer à lire les lettres de Joséphine—j’ai crée un portrait mental de Joséphine : une femme aussi follement amoureuse de son mari comme il se sentait avec elle. Mais à la fin, ce n’est pas ce que j’ai trouvé dans ses lettres. En lisant les premières lettres de Joséphine, mon portrait mental attendu d’elle a été rempli : elle est amoureuse de son mari, on le sait parce qu’elle dit les phrases comme, « ma volonté est aussi de te plaire, de t’aimer, ou, plutôt, de t’adorer » (le 14 novembre 1803). Mais même dans ses paroles amoureuses, il y a une profondeur de sentiments qui manque par rapport à celle de Napoléon. Après avoir lu les lettres de deux Napoléon et Joséphine en entière, j’ai trouvé qu’il y a plus un sens d’urgence et de besoin dans les lettres de Napoléon que les siennes de Joséphine et elle savait ce fait ; elle a dit dans une lettre à Barras (le 18 juin 1798), « Vous le connaissez et vous savez combien il m’en voudrait de ne pas recevoir de mes nouvelles. » Napoléon a toujours eu le besoin de recevoir l’assurance de la fidélité de sa femme. Je pense que Joséphine essaie de montrer qu’elle a besoin de son mari par exemple elle dit, « Bonaparte, tu m’a promis de ne pas m’abandonner » (le 23 septembre 1810), mais je pense qu’elle se sent distante de lui. C’était dans cette même année, 1810, où Napoléon a divorcé Joséphine parce qu’elle n’a pas pu produire un héritier du trône. Même après le divorce, Joséphine a resté polie vers Napoléon ; elle lui a dit, « Le tendre et profond attachement à sa personne est un bien que mes enfants partagent avec moi » (le 25 février 1814). Bien que Joséphine a resté fidele à son mari, je pense que son amour n’était pas au même niveau (ou aussi frénétique) de Napoléon.
Annie Kramer
- 2/12/2012
Dominique et Cara ont déjà souligné l’évolution du ton et leurs âmes dans les lettres ; un rapport de passion à l’amitié. Les lettres au début sont très bien écrites avec les forts sentiments et on voit la séduction de l’un à l’autre. Tout devient plus « quotidien, » surtout dans la lettre du 2 décembre 1906 que Cara a montré. Mais les lettres après leur divorce m’intéressent la plus parce que ces deux personnages ont gardé une partie de leur passion et de leur amour. C’est surprenant de voir deux divorcés qui voulaient vraiment continuer leur rapport. Comme Molly a dit, les lettres nous montrent une sorte de fenêtre dans les pensées des personnes, un portrait plus profond qu’un tableau. En lisant ces lettres, on s’est rendu compte de leurs sincères sentiments et leur amour assez profond. L’éditeur nous a montré que Joséphine préférait d’entretenir sa relation avec Napoléon: « Mais le bonheur de rester l'amie de l'empereur, de le voir quelquefois, l'emporta et dut l'emporter sur ce projet » (37). Même si ses enfants lui ont conseillé d’arrêter, elle a continué à écrire à Napoléon. J’ai vraiment envie de lire les lettres de Hortense et Eugene à leur mère parce que j’imagine qu’ils étaient fâchés avec elle pour garder sa relation avec l’empereur. C’est impossible de savoir tous sans lire chaque lettre de Jospehine et Napoléon, mais avec ces lettres on peut voir un portrait intime du couple. La dernière lettre qu’on a lu finit par : « Si l’Empereur te demandait de mes nouvelles, dis-lui, ce qui est vrai, que ma seule occupation est de penser à lui » (301). Cette lettre à Hortense date du 3 avril 1810. Alors, il était après le divorce, mais elle pense à lui toujours. La tendresse et la gentillesse de leur relation étaient présentes même après leur divorce et ils existent encore grâce aux lettres de l’un à l’autre. Avec ces sources primaires on peut partager un peu cet amour génuine en perpétuelle évolution.
Sophia Rothschild
- 2/12/2012
Je pense que Joséphine a raison, en lisant les lettres de Napoléon et Joséphine, on a un impression du caractère des personnes, leurs sentiments le plus profonds, leurs craints, et leurs espoirs. Nous avons lu beaucoup plus des lettres de Napoléon avant le mariage à Joséphine, quand il était un amant, plein de passion et d'amour. Malheureusement nous n'avons pas les lettres de Joséphine à cette époque. Pourtant on peut voir que Napoléon l'aimait beaucoup, mais aussi qu'il était jaloux, il voulait que Joséphine ait les mêmes sentiments que lui. Il a peur, il flotte entre les mots d'amour et les accusations. Il dit dans son lettre à Nice le 10 germinal, « Tu m'aimes moins » et « Le jour où tu dirais 'je t'aime moins' sera le dernier de ma vie » et « As-tu cessé de m'aimer? ». Il l'appelle « femme, tourment, bonheur, espérance, et âme de ma vie. » C'est vraiment pour lui un amour chargé de passion et de tension. Il n'est jamais satisfait. Alors on passe aux temps où Joséphine et Napoleon sont mariés. Ici on a le voix de Joséphine aussi que Napoléon. Il lui accuse de n'écrire pas beaucoup, mais je pense que ses lettres sont bien amoureuses et longs. En revanche, celles de Napoléon sont moins passionnées, plus courtes, et plus factuelles après le mariage. C'est très intéressant, dans une lettre juste après le mariage, Napoléon retourne à l'utilisation de 'vous.' Vers 1810, Joséphine commence à utiliser 'Votre Majesté' et 'Sire.' Si Joséphine a raison, et les lettres sont les portraits de l'âme, qu'est-ce-qui s'est passé? Je pense que Joséphine et Napoleon s'éloigne, et peut être ils utilisent ces mots formels pour mettre la distance entre eux, pour signaler que leur relation a changé.
Sarah Fensore
- 2/12/2012
Le cours de la relation entre Napoléon et Joséphine pendant quinze ans n’est ni droit ni plan ; donc, c’est évidement que le ton des lettres entre les deux amants change- mais qu’est-ce que les changes signifient ? Dominique et Cara trouvent la signifiance dans la longueur des lettres de Napoléon et les mots choisis par les deux amants qui montrent la profondeur des émotions. Je trouve que les types d’émotion exprimés représentent mieux le voyage d’amour de Napoléon et Joséphine. Au début de la relation, les deux amants commencent ses lettres avec la passion. Ils expriment la douleur de la séparation et l’angoisse de dormir tout seule chaque soir (Napoléon dans sa lettre de 6 brumaire IV et Joséphine dans sa lettre de 18 juin 1798). Puis, le ton change à réfléchir la préoccupation avec la famille. Les deux suggèrent que l’un donne la vie à l’autre (Napoléon dans sa lettre de 10 germinal IV et Joséphine dans sa lettre de 14 novembre 1803). Ensuite, la confiance de l’un dans l’autre dans le mariage agrandit. Napoléon rassure Joséphine que tout se passe bien sur sa campagne (23 prairial IV) et Joséphine exprime sa confiance dans la santé de Napoléon (30 septembre 1805 et 4 mars 1807). Ici, on voit que Joséphine est guidée par les signes de Napoléon ; elle se sent confiante pour des années après son réconfort. Le ton des deux amants change encore quand Napoléon décide à divorcer Joséphine. Les tentatives de Napoléon à maintenir l’amitié avec sa femme sont rencontrées par la distance et la formalité du ton de Joséphine (4/19/1810) ; elle comprend qu’il va la laisser pour un utérus. Néanmoins, la relation de Napoléon et Joséphine se termine avec la tendresse. Napoléon se concerne avec la santé de Joséphine (25 décembre 1809) et Joséphine lui remercie pour sa gentillesse (22 à 23 avril 1810).
Lucy Wilhelms
- 2/12/2012
Le phrase "Une lettre est le portrait d'une âme" m'a frappé. Les implications de ce phrase sont très intéressants. Un portrait, c'est une répresentation visuelle d'une personne. Joséphine veut dire qu'on peut la voir dans ces lettres. Elle établit un pacte; elle ne dit rien que la verité. Elle insinue que ces lettres sont des expressions du sincerité et d'intimité--l'âme est une partie d'un être qui est personelle, privée. Elle exprime son âme avec ces mots et de plus, les lettres sont des oeuvres d'art--les peintres devouent des temps pour completer un portrait; ce n'est pas une chose qui peut être fait brevement ou vitement. Comme Dominique et Cara, je veux parler des lettres de Napoléon comme mari, où il traite de la guerre. Ces lettres sont brefs et courts, pas du tout des portraits subis à beaucoup de travail. Je n'ai pas un conclusion en concernant si Napoléon lui-même pense aussi que les lettres sont un expression de l'âme, s'il les regarde assez gravement et franchement comme Joséphine. C'est vrai qu'on peut voir qu'il ne devoue pas beacoup de temps, mais les lettres reflètent son mode de vie transitoire d'un général qui font la guerre; ils peuvent être des portraits immédiats dans lesquelles il toujours exprime son amour pour Joséphine: "Adieu mon amie. Tout à toi". L'avertissement de l'éditeur parle aussi des lettres comme un moyen de "pénétrer dans les replis de leur ame" et un manière de montrer si "leur caractère a modifié leur génie" (8,9). Il semble qu'on peut trouver le génie de Napoléon et Joséphine dans leurs lettres; les lettres sont des portraits de leurs génies. Aussi les lettres apparaissent comme des moyens de trouver l'intimité. L'éditeur semble de vouloir savoir plus des hommes importants du passé, mais Joséphine et Napoléon ont utilisé des lettres comme un véhicle d'intimité et d'amour. Malgré leur amour, ils ont passés beaucoup de leurs vies séparés, l'un de l'autre et les lettres étaient un moyen de rester en contact. Le moyen d'expression d'un lettre a facilité un intimité pendant que les amants avaient été séparés. L'avant propos dit qu'un des dernières volontés de Napoléon a concerné un portrait de Joséphine (22). Les lettres de Joséphine ont été un potrait changeant, qui lui ont montré sa femme pendant qu'il était absent, peut être une meilleure répresentation de sa femme que ce portrait.
Molly Rogers
- 2/12/2012
Au début du mariage de Joséphine et Napoléon, Joséphine montre, à partir de ses lettres, qu'elle aime son mari. Elle confirme ses sentiments dans sa lettre à lui le 14 novembre 1803 en déclarant que sa volonté est « de te plaire, de t'aimer, ou, plutôt, de t'adorer. » Même à l’année de leur divorce, dans une lettre du 19 avril 1810, elle dit qu’elle veut encore garder le contact avec lui. Dans cette lettre elle l’appelle « Votre Majesté, » ce qui implique la prudence, car elle ne sait pas comment traiter Napoléon après le changement de leur relation ; mais après la réponse de Napoléon, elle est bien soulagée et elle recommence à l’appeler « mon ami, » dans la lettre du 23 avril 1810. La lettre est longue est détaillé, et elle exprime à Napoléon « mille, mille tendres remerciements » et qu’elle « t’aimerai toujours. » Ses mots montrent une vraie sincérité et enthousiasme, ainsi qu’un vrai amour pour Napoléon. Mais, après quatre ans de divorce, elle recommence à l’appeler « Votre Majesté » et à ne pas s’adresser à lui directement dans son langage. On ne sait pas pourquoi, mais c’est peut-être à cause du façon dont Napoléon s’adressait Joséphine, car le ton de ses lettres a beaucoup changé.
Au début de leur relation, il est très passionné. Dans la lettre du 10 germinal de l’an IV (avril 1796), il dit : « Je n’ai pas passé un jour sans t’aimer » ; puis, deux mois plus tard, le 23 prairial (juin 1796), il dit: « Ne m’écris plus. » Mais quoi que soit son sentiment, Napoléon le déclare avec passion. Pendant leur mariage, le ton de ses lettres devient moins romantique ; il parle de ces affaires, de ses voyages et du temps, par exemple dans la lettre du 2 décembre 1806, où il dit : « Il pleut. Je me porte bien. Je t’aime et te désire. Mes troupes sont à Varsovie. » Il ne parle pas d’émotion, sauf des choses comme « j’aurai grand plaisir à te revoir » et « porte-toi bien. » Le ton ici n’est pas celui d’amour. Après le divorce, il appelle Joséphine « mon amie, » mais les lettres deviennent encore de plus en plus courtes et impersonnels, discutant la guerre et ses plans de voyage plutôt que sa vie personnel. Il ne dit ses sentiments qu’à la fin d’une lettre : « Adieu, mon ami ; ne doute pas de l’intérêt que je prends à toi, et des sentiments que je te porte » (22 mars 1811). Ces déclarations apparaissent comme des pensées après coup, et non pas de l’importance. En général, on se sent plus de sincérité chez les lettres de Joséphine, et plus d’impersonnalité chez ceux de Napoléon. C’est un grand changement considérant le ton de ses lettres au début de la relation.
que les lettres de Joséphine montrent un amour constant qui évolue en type mais non pas en force, les lettres de l’Empereur indiquent que ses sentiments d’amour et même d’amitié pour Joséphine ont beaucoup diminué dans les vingt ans de leur relation.
Cara Gaynor
- 2/12/2012
Dans les lettres de Napoléon on voit que ses sentiments reflètent l’étape du rapport entre lui et Joséphine. Avant le mariage, les lettres de Napoléon sont beaucoup plus longues que les lettres pendant le mariage et après le divorce. Le contenu des lettres de Napoléon a aussi évoluées à travers leur rapport. Dans les premières lettres on voit que Napoléon prend beaucoup de soin avec chaque lettre, en choisissant les mots et en exprimant délicatement ses sentiments envers Joséphine. Puis pendant le mariage, les lettres concernent plutôt les activités de la journée. Il n’essaie plus à séduire Joséphine, il tout simplement partage sa vie quotidienne. Tandis qu’après le divorce les lettres sont encore plus courtes et traitent à évaluer l’esprit de Joséphine. Le ton de ces dernières lettres est plus distant.
A la part de Joséphine, dans la première lettre où elle proclame qu’une « lettre est le portrait de l’âme » (novembre 1803) ses sentiments envers Napoléon semblent d’être génuine. Elle reflet la même tendresse que l’on trouve dans les premières lettres de Napoléon quand elle décrit qu’elle veut être « occupée uniquement à ton (Napoléon) bonheur ». Comme Napoléon, cette lettre est plein de passion, « ma volonté est aussi de te plaire, de t’aimer, ou, plutôt de t’adorer » (1803). Mais cette tendresse commence à dissiper.
On peut voir une transformation du ton, comme celui dans les lettres de Napoléon, dans la lettre de Joséphine qui date du 19 avril 1810. C’était en 1810 que Joséphine et Napoléon a divorcé, on voit donc une froideur derrière ses mots. Joséphine commence sa lettre en employant la voie passé pour ajouter une autre distance entre elle et son ancien mari, « Sire je reçois par mon fils l’assurance que Votre Majesté consent à mon retour à Malmaison » (1810). Il est plus difficile d’analyser l’évolution du ton dans les lettres de Joséphine en raison de ne pas avoir beaucoup de lettres pendant leur mariage. Quand même on voit qu’il y a avait en fait une transformation de la passion à l’amitié.
Dominique Brunelle
- 2/12/2012
Joséphine remarque qu'une lettre est le portrait de l'âme. Est-ce que vous voyez une transformation du ton (et puis son âme) dans les lettres? Pensez-vous que les sentiments de Joséphine évoluent en comparison avec ceux de Napoléon? Comparez la sincerité des lettres des deux amants. Focalisez sur quelques lettres en particulier.
Julie et Molly
- 2/11/2012
Quand j’ai travaillé avec Natalie en posant cette question, nous voulions voir les réponses instinctives envers les citations dans ‘le discours sur le génie’. Tout suite j’ai remarqué la même écart que Maddie : que le génie chez la femme semble d’être plutôt physique que mentale. On voit cette différence dans la déclaration d’Alphonse de Lamartine qui souligne que la ‘nature’ du génie chez la femme est caractérisé d’être le « chaleur dans le cœur de la femme » tandis que pour l’homme la nature du génie reste ‘dans la tête de l’homme’.
A l’autre côté nous voulions poser la question autour d’une évolution pour faire la comparaison avec ces citations du XVIIe et XVIIIe siècles et aujourd’hui. Je trouve intéressant que Molly croit qu’il y avait une évolution mais qu’il y a encore d’espace à améliorer le rapport en analysant l'inégalité des salaires. Je crois que dans les cours qui viennent, on peut mieux répondre à cette question.
Dominique Brunelle
- 2/6/2012
Je suis d’accord avec Sarah que le mot « sexe » représente un côté scientifique de l’homme, mais le discours sur le génie évoque des idées actives qui créent un sentiment de choix ou capacité en rapport avec le génie. « L’homme en fait le génie, et la femme l’amour ». Ségalas dit que l’homme et la femme en fait l’un ou l’autre, donc ça suggère que le génie n’est pas fixé de la naissance comme le sexe. En travaillé avec Dominique on a remarqué aussi qu’il n’y a pas de mention de sexe dans les définitions du génie, « personnage exceptionnel » par exemple. Donc, il semble que cette association avec le sexe vienne de l’homme soit même, crée de la société et les relations sociales plutôt que la science. Par conséquence je pense que l’évolution du génie sera intéressant de découvre selon les changements de la société du XIXème siècle à aujourd’hui.
Natalie Biedermann
- 2/6/2012
Notre monde est fondé sur la subordination du sexe femelle. Dans ‘Le discours sur la génie,’ on voit plusieurs citations qui confirment cette notion d’envoûtement des femmes dans lesquelles les femmes sont associées avec « [des cerveaux] moins [actifs] » et avec le seul rôle d’aimer. En plus, plusieurs mâles chauvins suggèrent que si une femme semble d’avoir le génie, elle ne peut pas être une vraie femme—au rapport aux ses organes génitaux. Dans les yeux de ces hommes, le génie existe seulement une possibilité pour des hommes et si une femme, comme l’exemple de Mme Sand, possède cette qualité donc « [ses] parties génitales se rapprochant de l’homme. » Le préjuge vers les femmes ne pouvait pas être plus évident dans cette pensé que le génie est, biologiquement, lié aux corps d’hommes. Il n’y avait pas une évolution entre l’association de sexe avec le génie dans le dix-neuvième siècle parce que l’évolution, dans les siècles suivants, a exigé que la mentalité d’hommes de changer. On voit les racines de ce que le génie est considéré à notre jour dans les mots de la féministe française Olympe Audouard, « Avoir du génie, ce n’est pas donc avoir un cerveau d’homme ; le génie peut se placer aussi dans le cerveau de femme… On ne naît pas homme [ou femme] de génie…on naît seulement apte à le devenir. » Bien que le génie n’est pas une qualité que chaque personne possède, dans notre monde moderne, il n’y a pas encore un pris vers les femmes, elles sont considérées égales avec des homme d’avoir le génie.
Annie Kramer
- 2/5/2012
En lisant "Le discours sur le génie," il est évident que pas mal de personnes croyaient que l'homme et la femme sont fondamentalement différents, non seulement en termes de sexe, mais aussi en termes de caractère, et que ces différences ont un effet sur la pensée. D'après la plupart des citations des hommes, la substance d'une personne dépend de leur sexe, et beaucoup des personnes citées mentionnent l'émotion et l'amour comme étant des facteurs déterminants dans la vie d'une femme, alors que la pensée et la raison sont des traits donnés dans la vie d'un homme. Les rôles de genre sont stricts, et il est suggéré qu'on ne peut pas avoir la raison et l'émotion à la fois. Je crois que c'est à cause du fait qu'en théorie, le travail inné (donné par Dieu) d'une femme était d'avoir et d'éléver des enfants, donc elle ne pourrait pas avoir les mêmes outils biologiques de son mari--pourquoi aurait-elle besoin d'un esprit de génie pour être soignant?
Je pense qu'aujourd'hui, on admet qu'à cause des hormones et d'autres facteurs biologiques, les femmes sont généralement prédisposées à être plus émotionelles , mais on sait que cela n'a rien à voir avec la capacité du cerveau et de la possibilité du génie. On sait que ce n'est pas le seul travail d'une femme d'avoir des enfants; elle peut exercer son esprit comme un homme.
Cara Gaynor
- 2/5/2012
Je pense que la distinction entre le sexe et le génie a beaucoup évolué de XIXème siècle à aujourd’hui. Il faut qu’on comprenne que les citations dans « Le discours sur le génie » viennent d’une autre époque. A cette époque, il n’y avait assez de respect pour les femmes en général, surtout pour leurs génies. Il est bien évident que la plupart des personnes pensaient que le génie est lié avec le sexe parce que les hommes étaient les seuls génies. En lisant ces citations, j’ai pensé au monde d’art parce qu’il y a un vrai manque des femmes qui sont aussi respectées que les hommes. Au XIXème siècle il n’y avait pas vraiment les artistes célèbres qui sont les femmes sauf Mary Cassatt qui est très connue. J’imagine qu’on va revoir cette division entre les hommes et femmes plus tard quand on étudiera Mary Cassatt et Edgar Degas.
Sophia Rothschild
- 2/5/2012
Il n’est pas exactement clair ce qu’est le génie. Je suppose qu’il se manifeste dans une personne extraordinaire qui dépasse les limites imposées par l’époque ou les attentes des autres grâce à une intelligence exceptionnelle. Cette définition est absolument insuffisante, mais utile parce qu’elle ne mentionne point le sexe. Le génie est souvent lié avec les hommes dans l’histoire parce que les femmes n’avaient pas l’occasion de s’éduquer. Les attestations que la génie a ou n’a pas de sexe marche seulement si on suppose que les fondations de ces arguments sont vérifiables et stables, et dans l’histoire la femme avait souvent un petit voix donc je me méfie de plusieurs citations des hommes. Une évolution notable du rapport entre le sexe et le génie est que dans les premières citations quelques femmes doutent leur capacité d’avoir du génie et avec le temps cette reluctance féminine diminue. Les citations soulignent clairement qu’il existe une différence essentielle entre les femmes et les hommes, mais l’argument que l’amour et le cœur de la femme sont des obstacles pour le génie féminin en contraste avec les hommes qui mettent d’emphase naturelle sur leurs têtes et la raison n’est pas convaincante. De plus, ce point de vue suggère que les femmes ne peuvent pas atteindre le génie parce qu’elles se préoccupent des autres, surtout les hommes. Le romantisme, la chaleur, et la capacité d’avoir des enfants excluent les femmes du génie sans un bon soutien logique. Par exemple, je trouve l’argument de Schopenhauer particulièrement frustrant. Selon Schopenhauer les femmes n’ont pas de génie à cause de leur subjectivité, « they always remain subjective ». Mon problème avec cette phrase vient de l’erreur logique. Il est ridicule de rejeter le génie féminin à cause de la subjectivité parce que, malgré le fait que les femmes sont souvent plus sensitives que les hommes, chacun est également subjectif. On ne peut pas échapper à notre subjectivité parce que chacun de nos expériences est influencé par notre point de vue, le « je ». La supposition que les hommes n’ont pas ce perspective est un refus de l’évident. La citation de Schopenhauer est intéressant parce qu’il semble d’avoir saisi le sens de la tension entre les sexes plus que les autres. L’association du sexe et du génie semble servir à la vanité et l’orgueil masculin sans faire référence à l’évidence de la capacité féminine d’apprendre et de surprendre.
Julie Solomon
- 2/5/2012
Quand j’ai travaillé avec Natalie en posant cette question, nous voulions voir les réponses instinctives envers les citations dans ‘le discours sur le génie’. Tout suite j’ai remarqué la même écart que Maddie : que le génie chez la femme semble d’être plutôt physique que mentale. On voit cette différence dans la déclaration d’Alphonse de Lamartine qui souligne que la ‘nature’ du génie chez la femme est caractérisé d’être le « chaleur dans le cœur de la femme » tandis que pour l’homme la nature du génie reste ‘dans la tête de l’homme’.
A l’autre côté nous voulions poser la question autour d’une évolution pour faire la comparaison avec ces citations du XVIIe et XVIIIe siècles et aujourd’hui. Je trouve intéressant que Molly croit qu’il y avait une évolution mais qu’il y a encore d’espace à améliorer le rapport en analysant l'inégalité des salaires. Je crois que dans les cours qui viennent, on peut mieux répondre à cette question.
Dominique Brunelle
- 2/5/2012
Quelque chose qui m’a frappé en lisant le discours sur le génie est la diversité des opinions. Parmi les auteurs, il y en a des uns qui insistent qui « le génie n’a pas de sexe » et par contre des uns qui nient l’égalité des sexes. Les deux côtés de ce sujet polémique sont trouvés au début de l’époque et également à la fin du XIXe siècle. Cependant, il y un fil qui cour entre plusieurs citations : des termes de science et d’anatomie sont utilisés pour décrire le rapport entre le génie et le sexe. Surtout, on voit des justifications basées sur la biologie aux années 1870 et les suites. Peut-être ce changement de pensée sur le génie reflète l’influence de Charles Darwin et les darwinistes. Selon moi, pour comprendre le rapport entre le sexe et le génie il faut préciser les définitions des termes (le génie, en particulier). Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le terme « génie » pouvait impliquer une qualité divine de l’esprit. En revanche, au XIXe siècle, on analysait le génie dans un sens de plus en plus scientifique que religieux/philosophique. Alors, l’accent mis au sexe, une qualité plus scientifique que l’esprit ou l’âme, s’aligne avec le mouvement vers la science en général.
Margaret Hunziker
- 2/5/2012
Parmi ceux qui nient le génie chez les femmes, la focalisation me semble de se trouver beaucoup plus sur le corps que sur le cerveau. Je me demande donc si l’on ne parle pas d’un génie phallique. Les Goncourts accusent Sand et Staël d’être hermaphrodite à cause du génie qui se trouve dans leurs corps, et ils constatent que, lorsque des femmes « sont des génies, elles sont des hommes. » Si la plus grande différence entre le corps féminin et le corps masculin et le phallus ou le manque d’un phallus, pour parler en termes du corps mâle, et il n’est que dans ce corps masculin qu’on trouve le génie, le génie doit se trouver dans le phallus. D’après Jacques Lacan, des hommes sont des hommes car ils sont perçus comme ayant le phallus, la source des pouvoirs générateurs. Ceux qui n’estiment pas que le génie peut se trouver dans le corps d’une femme doivent logiquement croire que le pouvoir générateur est un pouvoir sexuel, aussi.
Maddie Purcell
- 2/5/2012
Le lien qui existe entre le génie et le sexe n’existe que dans nos têtes. À mon avis, chaque être humain est capable d’atteindre un certain niveau de génie dans un camp qui est spécifiquement attirant à cause de facteurs qu’on ignore, et même, ne comprend pas. Ceci dit, je pense que une femme, même qu’un homme, peut être un génie dans un contexte littéraire ou scientifique, et que quelqu’un, de sexe quelconque, peut être un génie dans le camp de la « passion » ou « l’amour ». Ce n’est pas le sexe qui peut nous limiter à l’égard du génie, mais plutôt nos préférences individuelles qui nous mènent à aimer, et étudier certaines filières davantage qu’autres.
Solon Arguello
- 2/5/2012
Après avoir lu toutes les idées diverses dans 'le discours sur le génie,' je pense que tous ces gens se sont posés la même question, « existe-t-il un lien entre le corps physique et l'esprit? »
La définition du mot « sexe » est très scientifique. Une définition est, « Ensemble des caractères masculins ou féminins déterminés par la combinaison des chromosomes de l'ovule et du spermatozoïde. » Cette définition ne parle que du corps physique. En revanche, la définition du génie est totalement différente, elle ne parle pas des choses exactement concrètes, « Aptitude, faculté supérieures de l'esprit portées au-delà du niveau commun. » On peut dire peut-être, qu'ensemble, le sexe (le corps physique) et le génie (les facultés de l'esprit) sont des éléments qui font un être humain. C'est naturel donc, que nous avons discuté depuis longtemps le lien entre ces deux côtés d'un humain. On veut savoir, existe-t-il un vrai lien ou pas? Je ne sais pas si nous allons jamais trouver une réponse. Bien-sûr la science peut nous aider de mieux comprendre le cerveau, mais je pense que le génie c'est plutôt une question de l'esprit- quelque chose que la science ne peut jamais comprendre.
Sarah Fensore
- 2/5/2012
Je pense que c’est certain qu’une évolution s’est passée à propos le rapport entre le génie et le sexe. Beaucoup des citations dans ‘Le discours sur le génie’ parle des différences entre les femmes et les hommes, ils questionnent aussi si ces différences existent ou pas. On voit l’évolution dans le discours, le fait que c’est une question dont beaucoup de gens parle. L’évolution ne procède pas dans une manière complètement chronologique ; il y a des hommes qui tiennent aux idées insultants concernant l’intelligence des femmes bien après la proposition d’une égalité entre les sexes. En considérant cette question, j’ai pensé des inégalités qui restent aujourd’hui entre les hommes et les femmes comme les femmes qui ne gagnent pas la même quantité d’argent que des hommes dans un travail similaire. Si une salaire représente une estimation du génie d’une personne, peut être l’évolution des pensées n’est pas complète, on pense encore que les hommes ont plus de génie. Mais, je réaffirme ma croyance dans l’évolution quand je lis les citations des Goncourt ; on ne pense plus qu’une femme intelligente doit être un hermaphrodite dont l’intelligence vient des parties masculines. Moi, je pense que le génie n’a aucun rapport avec le sexe ; je connais des hommes et des femmes intelligents et les hommes et les femmes qui sont moins intelligents. Je crois que le génie peut être influencé par des éléments comme la génétique, la détermination et la curiosité.
Molly Rogers
- 2/5/2012
“Le génie n’a pas de sexe”. Cette déclaration est répétée et même niée dans 'Le discours sur le génie'. Selon vous, comment peut-on comprendre l’association de sexe avec le génie? Pensez-vous qu’il y avait une évolution de ce rapport?
Dominique et Natalie
- 2/4/2012
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